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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 23:19

Dimanche, sur l'étang de Niffonds, près de Nevers (France).

Une magnifique balade entre amis et ce cygne, venu en famille nous dire bonjour...

Regardez-bien sur le dos de la maman...

 

 

AVEC LE BEBE

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commentaires

M
<br /> Quelle chance de pouvoir photographier cette belle scène.... Nevers est une ville que nous aimerions beaucoup visiter mon mari et moi ( nous sommes de Roanne...donc pas trop loin..). Bonne journée<br /> Martine<br /> <br /> <br />
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M
<br /> Bonsoir Jacky<br /> Une bonne idée de télécharger directement les diaporamas. Cela m'a permis de découvrir ton blog. Si on n'est pas un petit peu poussé à faire quelque chose, on remet toujours à demain voire au<br /> lendemain...<br /> Profite bien de tes voyages.<br /> Et puis, jour de la Fête des Mères je tombe sur cette magnifique image.<br /> Bonne Fête à toutes les mamans.<br /> Je t'embrasse.<br /> <br /> <br />
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L
<br /> Qu'il est mignon , et il y en a d'autres devant ! c'est superbe ! Merci et bonne journée!<br /> <br /> <br />
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J
<br /> En voyant cette magnifique photo, cela m'a rappelé un poème que nous avions appris par coeur à l'école. Il s'agit du poème intitulé "Le Cygne" par Sully Prudhomme.<br /> Le voici donc:<br /> Sans bruit, sous le miroir des lacs profonds et calmes,<br /> Le cygne chasse l'onde avec ses larges palmes,<br /> Et glisse. Le duvet de ses flancs est pareil<br /> A des neiges d'avril qui croulent au soleil ;<br /> Mais, ferme et d'un blanc mat, vibrant sous le zéphire,<br /> Sa grande aile l'entraîne ainsi qu'un blanc navire.<br /> Il dresse son beau col au-dessus des roseaux,<br /> Le plonge, le promène allongé sur les eaux,<br /> Le courbe gracieux comme un profil d'acanthe,<br /> Et cache son bec noir dans sa gorge éclatante.<br /> Tantôt le long des pins, séjour d'ombre et de paix,<br /> Il serpente, et, laissant les herbages épais<br /> Traîner derrière lui comme une chevelure,<br /> Il va d'une tardive et languissante allure.<br /> La grotte où le poète écoute ce qu'il sent,<br /> Et la source qui pleure un éternel absent,<br /> Lui plaisent ; il y rôde ; une feuille de saule<br /> En silence tombée effleure son épaule.<br /> Tantôt il pousse au large, et, loin du bois obscur,<br /> Superbe, gouvernant du côté de l'azur,<br /> Il choisit, pour fêter sa blancheur qu'il admire,<br /> La place éblouissante où le soleil se mire.<br /> <br /> Puis, quand les bords de l'eau ne se distinguent plus,<br /> A l'heure où toute forme est un spectre confus,<br /> Où l'horizon brunit rayé d'un long trait rouge,<br /> Alors que pas un jonc, pas un glaïeul ne bouge,<br /> Que les rainettes font dans l'air serein leur bruit,<br /> Et que la luciole au clair de lune luit,<br /> L'oiseau, dans le lac sombre où sous lui se reflète<br /> La splendeur d'une nuit lactée et violette,<br /> Comme un vase d'argent parmi des diamants,<br /> Dort, la tête sous l'aile, entre deux firmaments.<br /> <br /> N.B. Que ce poème est beau et comme il se marie à merveille avec votre magnifique photo. La langue français n'est-elle pas merveilleuse...<br /> <br /> <br />
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B
<br /> Une bien belle photo.<br /> Et certainement une belle balade.<br /> Bonne journée<br /> Amitiés<br /> Bernadette<br /> <br /> <br />
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